STONART
Les senteurs en apesanteur alanguies stagnent en frôlant le balancement des verts qui vont patiemment au diable se faire dorer les fanes ainsi que la pilule abondamment parce qu’ici aussi le ralentissement des faits se met au diapason au cliquetis des mouvements menus se mêle un flot de mots venus des passions endormies pêlemêle les mélancolies se font la malle sans le moindre gémissement endimanchées pour la circonstance laissant ainsi s’ouvrir le bal hautain